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Newsletter Marketplaces Mai 2022

Les articles à la une :

Part du e-commerce dans le commerce de détail en France

« La vente en ligne de détail grappille des parts de marché sur la vente physique dans l’Hexagone. En 2021, l’e-commerce a représenté 14,1% du commerce de détail, selon la Fevad et l’Insee. Malgré un CA en croissance régulière, les ventes sur Internet restent encore très minoritaires en comparaison du commerce physique. »

 

Une part de marché en croissance régulière, mais ces enquêtes ne reflètent qu’une partie de la réalité de l’impact du e-commerce sur les ventes de produits.

 

En effet, il est aujourd’hui impossible de mesurer l’acquisition de nouveaux clients en magasin physique qui est faite grâce à une présence en ligne ou sur les Marketplaces.

 

Le client final étant de plus en plus connecté, il fait souvent sa recherche d’abord en ligne avant d’aller essayer ou visualiser le produit en magasin physique. Cette part d’acquisition n’est pas mesurable, mais à chaque sondage des acheteurs français, ceux-ci reconnaissent utiliser internet pour faire leur choix avant d’aller en magasin ou pour comparer lorsqu’ils sont en magasin.

 

Lors de la dernière étude de Dynata : 34 % des Français disent découvrir de nouveaux produits grâce aux Marketplaces, soit le deuxième canal de découverte après le bouche-à-oreille : 37 %.

 

Ce canal de vente grappille donc des parts de marché en termes de CA direct, mais surtout permet à une PME d’être visible et de faire connaitre sa marque comme un Média avec des retombés bien plus large sur son CA global…

 

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Bilan e-commerce au 1er trimestre 2022 : un chiffre d’affaires en hausse de 12%

Au premier trimestre, l’e-commerce (produits et services) a enregistré une croissance de 11,8 % par rapport au même trimestre 2021. Les ventes en ligne représentent 32,5 milliards d’euros, soit plus de 3 milliards par rapport à l’an dernier.

 

La FEVAD vient de présenter les résultats de T1 22 avec une croissance continue du e-commerce, notamment dû à la vente de service qui redémarre.

 

Quelques chiffres sont très parlants pour définir sa stratégie digitale en PME :

– Les ventes B to B maintiennent leur croissance élevée et augmentent de 19,6 % par rapport à l’an dernier.

– Le poids des ventes sur les places de marché représente 15 % du total des ventes de l’iCE 100 Produits et progresse d’un point par rapport à l’an dernier.

– Les ventes globales sur mobile (produits et services) augmentent de 14 % au 1er trimestre de cette année.

 

De plus, le trio de tête en audience de l’e-commerce en France au premier trimestre 2022 en millions de visiteurs uniques moyens par mois reste Amazon (35,45), Leboncoin (27,8 ) et Cdiscount (20,3).

 

Les deux Marketplaces leaders en France restent la meilleure façon pour une PME de trouver de nouveaux clients et faire connaitre sa marque avec un ROI positif…

 

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Source FEVAD, lire l’article complet

DSA : pourquoi les coûts de commercialisation vont augmenter sur Amazon ?

Le DSA (Digital Service Act), vous connaissez ?

 

C’est l’outil universel de l’Europe qui vient fixer un cadre pour les intermédiaires du e-commerce.  Le but étant de rendre les places de marché plus responsables avec une obligation de s’assurer que les consommateurs puissent acheter des produits et des services en ligne « sûrs ».

 

C’est une mesure de transparence qui impose au vendeur de fournir des informations supplémentaires et permettra une concurrence plus saine en limitant certaines pratiques peu honorables de vendeurs tiers dans leurs argumentations ou la qualité de leurs produits.

 

Pour les PME françaises, c’est plutôt une bonne nouvelle, mais quelle va être son impact concret ?

Cela va-t-il générer une augmentation des coûts de gestion et de commercialisation pour vendre ses produits sur Amazon et les grandes Marketplaces ?

 

La réponse est malheureusement très probablement positive, car ce contrôle accru et les obligations qui en découlent pour les grandes Marketplaces vont devoir être financés d’une façon ou d’une autre et surement pas au détriment de la marge de ces grands acteurs.

 

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Source JDN/TradeBooster), lire l’article complet

Chiffre d'affaires de l'e-commerce en Italie

e-commerce en Italie : « En 2021, la croissance du chiffre d’affaires du commerce électronique italien s’est élevée à 33% : les dépenses en ligne se sont établies à 64 milliards d’euros contre 48,2 milliards en 2020, selon Casaleggio Associati, société de conseil spécialisée dans l’économie numérique. »

 

Un marché deux fois moins important que la France (129 Milliards), mais avec une croissance deux fois supérieure (FR=15.1%).

Des opportunités d’accès à ce marché pour les PME françaises grâce aux Marketplaces comme Amazon, Leroy Merlin…

 

Les Marketplaces sont de plus en plus Européennes et permettent de rayonner en Europe de plus en plus facilement, notamment grâce à la mise en place du guichet unique de TVA et de la gestion des stocks centralisées à partir de la France.

 

Pour pouvoir performer sur ces Marchés, il ne faut pas hésiter à investir dans la traduction par un natif de la langue pour optimiser ses fiches produits.

 

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Montant dépensé en ligne par acheteur et par an

En moyenne, les cyberacheteurs ont chacun dépensé en ligne 3 089 euros au cours de l’année 2021, selon la Fevad et Médiamétrie//Netratings.

 

Et pour rappel, les Marketplaces captent 50% de ses dépenses en 2021…

En tant que PME, vous devez optimiser votre présence en e-commerce, car cela représente en 2021 14.1 % du commerce de détail.

 

La réussite en e-commerce est avant tout une question d’expertise et de ressources mobilisées et formées sur ce canal. La pénurie de Talents sur ces postes pénalise plus fortement les PME que les grands groupes, mais celles-ci doivent trouver des solutions et la délégation auprès d’experts du domaine est un choix à étudier au risque de se priver de la croissance continue de ce canal de vente…

 

Source JDN, lire l’article complet

La part de l'e-commerce dans le marché mondial de l'alimentaire continue d'augmenter

« Les ventes en ligne de produits alimentaires et de grande consommation ont augmenté de plus de 15 % en 2021, dans un marché mondial de l’alimentaire en croissance de 2,1 %.

Une fois encore, l’e-commerce a été le circuit de distribution à la croissance la plus rapide (15,8 %), s’appuyant sur le taux de 45,9 % enregistré en 2020. L’e-commerce représente désormais 7,2 % des ventes alimentaires, contre 6,3 % en 2020 et 4,8 % en 2019″ Etude Kantar sur les ventes annuelles de produits alimentaires.

 

La vente en ligne de produit alimentaire est un des axes prioritaires de développement pour les Marketplaces, car actuellement c’est un des marchés qui a une des plus fortes croissances post-restriction COVID.

Tous les produits alimentaires sont concernés, à l’exception de ceux à DLC courte qui ne sont pas adaptés à ce modèle.

 

Pour les PME dans ce secteur d’activité, les Marketplaces deviennent un canal de vente rentable et en forte croissance sur un marché global en stagnation à 2% depuis 5 ans.

 

En tant que décideur de PME dans l’agroalimentaire, il est grand temps d’investir sur ce canal de vente ou l’antériorité de la présence offre souvent un avantage concurrentiel dans la plupart des moteurs de recherche de ces plateformes.

Et si vous ne savez pas comment y aller ou comment optimiser vos ventes sur ce canal alors, n’hésitez pas à nous contacter 😉

 

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Source Ecommercemag, lire l’article complet

Le modèle marketplace : levier de l'économie circulaire ?

« Si écologie et économie semblaient difficiles à concilier, aujourd’hui ces deux domaines coexistent efficacement via l’économie circulaire et grâce, notamment, au modèle marketplace. » Antoine Orsini

PDG, LEMONWAY

 

Le modèle Marketplace s’invite dans tous les secteurs d’activité et change la donne pour les PME dans la mise en place de leur stratégie digitale.

Les raisons principales de ce succès auprès des consommateurs sont la compétitivité des prix, la rapidité de la livraison et la variété de produits proposés. Selon la dernière étude de Mirakl :

-35 % des Français déclarent faire leurs achats sur des Marketplaces

-64 % préfèrent faire leurs courses sur des Marketplaces hybrides ou non.

 

Ce modèle va générer cette année 70% du CA e-commerce dans le monde selon Gartner Predict, il est donc évident que les PME en France doivent structurer et professionnaliser leurs ventes sur ce Canal. Mais avec une difficulté majeure pour elle : la Pénurie de Talent sur un métier qui s’apprend uniquement au fur et à mesure sur le terrain …

 

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"Le modèle économique des marketplaces ne doit pas voler en éclat sous le poids des obligations"

« Le DSA évoque des places de marché plus responsables qui devront s’assurer que les consommateurs puissent acheter des produits et des services en ligne sûrs. Jusqu’où devra aller la plateforme pour garantir les informations fournies par le vendeur ?

 

C’est une mesure de transparence qui impose au vendeur de fournir des informations supplémentaires. C’est aussi une obligation pour les plateformes de proposer une interface sur laquelle les vendeurs tiers pourront remplir ces obligations. Les intermédiaires seront responsables de la fourniture d’une telle interface aux vendeurs. Le changement repose sur la transparence, la marketplace doit bien se présenter comme telle et non comme vendeur. Si elle vend ses propres produits, elle devra remplir les obligations du vendeur. Les obligations se renforcent donc, et le vendeur tiers doit être bien identifié. Si son identification n’est pas claire pour le consommateur, l’intermédiaire devient vendeur aux yeux de la réglementation. » Marc Lolivier (DG de la FEVAD)

 

Sur le principe une excellente nouvelle pour les PME françaises, un meilleur contrôle sur les vendeurs et les produits disponibles sur les Marketplaces ne peut qu’être bénéfique pour limiter la contrefaçon et garantir une concurrence plus saine.

 

Mais d’un côté pratique, sa mise en application va encore un peu plus complexifier la création de fiches produits sur les grandes Marketplaces et augmenter la charge administrative nécessaire pour bien montrer « patte blanche » auprès des services compliances de ces plateformes. C’est déjà actuellement complexe et nécessite de nombreux aller-retour avec le service support pour prouver que l’on peut mettre en avant tel ou tel bénéfice, certification ou déclaration que je crains que la DSA n’amène une couche supplémentaire qui rebutera bien des PME par sa complexité…

 

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Source JDN FEVAD, lire l’article complet

 

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Alain Rétière-Lehideux

Associé Fondateur

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